Il suffirait d'avoir la patience et la paix blonde des grands champs de blé, leur consentement aux grâces mouvantes du vent et des lumières.
Et que nos coeurs chaque jour s'ouvrent à la fraîcheur et à l'éclat des coquelicots.
A ces fragiles tâches rouges, à ces larmes de vie que personne ne provoque et qui viennent pourtant imprévisibles, au beau milieu des champs, au beau milieu des jours, de nos jours.
Et que nos coeurs chaque jour s'ouvrent à la fraîcheur et à l'éclat des coquelicots.
A ces fragiles tâches rouges, à ces larmes de vie que personne ne provoque et qui viennent pourtant imprévisibles, au beau milieu des champs, au beau milieu des jours, de nos jours.
ah Bobin, le mot juste...
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